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Mémé dans les orties - Aurélie Valognes

  • Photo du rédacteur: Cécile Lou
    Cécile Lou
  • 2 juil. 2018
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 5 juil. 2018


Mémé dans les orties. Aurélie Valognes.

Mémé dans les orties est la première histoire d’Aurélie Valognes. Publiée dans un premier temps, en autoédition avec succès, elle a ensuite été éditée chez Michel Lafon et vendue à plus de 600000 exemplaires.


Avis aux amateurs de romans feel good ! Ce roman est un pur concentré de bonne humeur et ce, malgré la mauvaise humeur de Ferdinand, 83 ans et râleur invétéré. A défaut de mémé, c’est bien cet insupportable papy qu’on a envie d’envoyer sur les roses.


Ce dernier ne vit plus que pour sa chienne Daisy, ainsi quand celle-ci disparait, il n’a qu’une envie, quitter ce monde où rien ne le retient.

Mais c’était sans compter sur le rétroviseur du bus et l’arrivée de la petite Juliette dans sa vie.


Alors oui, les personnages sont à la limite de la caricature, le vieux grincheux et la petite fille précoce mais ce n’est que du bonheur de partager un moment avec eux et on prend véritablement un malin plaisir à découvrir les machinations du vieil homme pour faire enrager la concierge et les autres…


Pas besoin d’exagérer et de pousser Mémé dans les orties, c’est juste un livre sans prétention à dévorer, un roman qui fait du bien !


Extraits:

« « Chieuse » n’est pas dans le dictionnaire. C’est la meilleure ! Il faudra qu’on m’explique pourquoi on y met que des mots qui servent jamais ! Est-ce qu’on se sert de « chiffe » ou de « chiton » ? C’est peut-être mon dictionnaire qui est trop vieux. 1993. Les chieuses existaient déjà, non ? »
« M. Brun déteste plus que tout les nourrissons. Pour lui, ce ne sont que des contraintes avec, en prime, l’ingratitude la plus totale. Ça ne comprend rien, ça pleure, ça a toujours besoin de quelque chose : on ne peut jamais être tranquille. Et quand ça sourit, ça sourit autant à ses parents qu’aux inconnus. Ingrats, va ! »
« Je viens de faire un trajet dans un pot de yaourt à la vitesse d’une formule 1 et conduit, non pas par Michael Schumacher, mais par une nonagénaire aveugle et inconsciente des dangers.»

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© 2018 Cécile Des livres à la plume.

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